NOSTALGIE (chansons d'hier à ma manière)
J'en appelle à la tendresse!
Chanter en amateur... qui ne l'a fait? Bon côté son ça craint un peu: et puis pour l'enregistrement on ne dispose pas des mêmes outils que "The Voice" … alors on fait avec Audacity... et si pour vous le naturel l'emporte sur le sophistiqué, et que par-dessus le marché vous êtes très conciliants(es) vous m'écouterez peut être jusqu'au bout?
Qui ont froid, qui ont faim
Vous brûlera les mains
Qui dirige le monde
Avec toutes leurs bombes
Devant les cathédrales
Mais toujours plusieurs diables
Devant ceux qui ont tout
Le chanter à genoux
A la tendresse
A l'amour
S'il nous en reste
J'en appelle
A tout les hommes
Que leur volonté
Soit bonne
A la tendresse
En plein cœur
Je vous adresse
Une chanson
D'espoir en somme
J'en appelle
A tout les hommes
N'écrivez pas l'histoire
C'est un ami qui part
Au nom de quel pouvoir
Les lauriers de la gloire
Et les mots pour le dire
Dans ce monde en délire
Dites moi si j'ai tort
Vous le chanter plus fort
A la tendresse
A l'amour
S'il nous en reste
J'en appelle
A tout les hommes
Que leur volonté
Soit bonne
A la tendresse
En plein cœur
Je vous adresse
Une chanson
D'espoir en somme
J'en appelle
A tout les hommes
A la tendresse
En plein cœur
Je vous adresse
Une chanson
D'espoir en somme
J'en appelle
A tout les hommes
Mistrals gagnants
Bonjour, cette chanson est encore d'actualité en raison de nombreuses reprises par de jeunes artistes (notamment) alors voici la mienne...
Et regarder les gens tant qu'y en a
Te parler du bon temps qui est mort ou qui reviendra
En serrant dans ma main tes petits doigts
Puis donner à bouffer à des pigeons idiots
Leur filer des coups de pied pour de faux
Et entendre ton rire qui lézarde les murs
Qui sait surtout guérir mes blessures
Les bombecs fabuleux qu'on piquait chez le marchand
Car-en-sac et Mintho, caramels à un franc
Et les mistral gagnants
Et regarder la vie tant qu'y en a
Te raconter la terre en te bouffant des yeux
Te parler de ta mère un petit peu
Et sauter dans les flaques pour la faire râler
Bousiller nos godasses et se marrer
Et entendre ton rire comme on entend la mer
S'arrêter, repartir en arrière
Et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres
Et nous niquaient les dents
Et les mistral gagnants
Regarder le soleil qui s'en va
Te parler du bon temps qui est mort et je m'en fous
Te dire que les méchants c'est pas nous
Que si moi je suis barge ce n'est que de tes yeux
Car ils ont l'avantage d'être deux
Et entendre ton rire s'envoler aussi haut
Que s'envolent les cris des oiseaux
Le temps est assassin et emporte avec lui
Les rires des enfants et les mistral gagnants
Et les mistral gagnants
Source : Musixmatch
Aimer à perdre la raison…
Soyons fous:
Aimons-nous
À perdre la raison!
Aimer à perdre la raison
Aimer à n'en savoir que dire
A n'avoir que toi d'horizon
Et ne connaître de saisons
Que par la douleur du partir
Aimer à perdre la raison
Ah c'est toujours toi que l'on blesse
C'est toujours ton miroir brisé
Mon pauvre bonheur, ma faiblesse
Toi qu'on insulte et qu'on délaisse
Dans toute chair martyrisée
Aimer à perdre la raison
Aimer à n'en savoir que dire
A n'avoir que toi d'horizon
Et ne connaître de saisons
Que par la douleur du partir
Aimer à perdre la raison
La faim, la fatigue et le froid
Toutes les misères du monde
C'est par mon amour que j'y crois
En elle je porte ma croix
Et de leurs nuits ma nuit se fonde
Aimer à perdre la raison
Aimer à n'en savoir que dire
A n'avoir que toi d'horizon
Et ne connaître de saisons
Que par la douleur du partir
Aimer à perdre la raison...
Unchained Melody
Cette chanson fut écrite en 1955 par Hy Zaret (en) et composée par Alex North pour le film Prisons sans chaînes. Elle évoque l'histoire d'un prisonnier qui souffre de l'absence de sa petite amie. Dans la bande originale du film, elle est interprétée par Todd Duncan, qui y joue également un rôle.
Elle fut reprise en France, sous le titre Les Enchaînés
Très rapidement, d'autres versions de Unchained Melody sont enregistrées ; l'une par Les Baxter l'autre par Al Hibbler puis Roy Hamilton mais le premier vrai succès vient avec Harry Belafonte, qui l'interprète également lors de la cérémonie des Oscars en 1956.
Une des versions les plus connues du titre est celle créditée aux Righteous Brothers en 1965, interprétée en réalité par le seul Bobby Hatfield en 1965. Elle figure notamment dans la bande originale du film Ghost (1990).
Parmi les artistes l'ayant reprise ou adapté, on peut citer respectivement Gene Vincent, Ricky Nelson,
The Platters, Sam Cooke, Dionne Warwick, Sonny & Cher, Righteous Brothers, The Supremes, Roy Orbison, Bobby Vinton, Donny Osmond, Al Green, Elvis Presley, Willie Nelson, George Benson, Heart,
Joni Mitchell, Leo Sayer, U2, Air Supply, Joe Lynn Turner, Neil Diamond, Gareth Gates, Cyndi Lauper, Bayhan Gürhan, Johnny Maestro & The Brooklyn Bridge, Johnny Hallyday en duo avec Joss Stone, Clay Aiken, Susan Boyle, Glee, Mouloudji, Line Renaud, Armand Mestral, Les Chaussettes noires, Eva, Bob Asklöf, Philippe Laumont…
Alors certes en proposant ici ma propre version, je suis loin de ceux-là … mais c'est MA version Française à moi… et peut-être même qu'elle vous plaira?
C'est quoi c'est qui...?
Une fois n'est pas coutume... encore que! Mais cette fois c'est à vous d'ajouter une chronique à cette musique en répondant notamment à ces trois questions:
Qui en est l'auteur:
Qui interprète ici cette musique:
Quel est l'instrument utilisé par cet interpréte:
Le Printemps
Bonjour,
Je ne sais si c'est votre cas, mais aujourd'hui 17 juin, voici que dans mon coin de France le ciel qui est gris a du mal à sourire alors de la température oscille entre 14° et 18°…
Alors pour le plaisir fugace d'un moment de gaité partagée, je vous propose d'écouter cette chansonnette (Printemps d'Alsace) qu'interpréta une certaine Line Renaud et que j'ai revisitée en substituant mes propres paroles. (ci dessous)
LE PRINTEMPS
Il a gommé le ciel de pluie
Et dessiné un paradis
Il revient en chantant
Le printemps
Il a donné de la ferveur
Par la beauté de ses couleurs
Il est dans l'air du temps
Le Printemps
Par le chant de l'oiseau
Dans le bleu indigo
Il ouvre le gala
Sur un air d'opéra
Et le vent l'entrainant
Dans la valse du temps
A réchauffé le cœur
D'un volcan de douceur
Dans mon jardin tout refleurit
Et l'hirondelle refait son nid
Il revient en chantant
Le Printemps
Dans les ruelles il est aussi
Car les amoureux sont jolis
Il est dans l'air du temps
Le printemps
Surtout ne dis pas non
Et sors de ta maison
C'est la meilleure saison
Pour perdre la raison
Le bonheur et la joie
Nous filent entre les doigts
Printemps ne durera
Que le temps des lilas.
Il a gommé le ciel de pluie
Et dessiné un paradis
Il revient en chantant
Le printemps
Il a donné de la ferveur
Par la gaité de ses couleurs
Il est dans l'air du temps
Le Printemps.
Robert-Henri D.
"La Ballade Nord-Irlandaise"
Par le biais de cette chanson phare, Le chanteur Renaud Séchan parle de ces "enfants de Belfast" qui furent pris dans une guerre de religion... Comme à son habitude d'alors, il créa des paroles oscullant entre tendresse et coup de gueule, tout en restant fidèle aux thèmes qui lui sont chers : l'enfance, l'amour et l'injustice.
Il en trouvera la mélodie dans un très vieil air de folklore Irlandais publié en 1724 qui fut originellement connu sous le titre de "O Waly,Waly". Toutefois au XIXème siècle elle fut renommée "The Water is wide" ( naturellement Renaud n'a repris qu’une partie de cette longue Ballade.)
Cette magnifique chanson que j'interprète à ma manière, est devenue incontournable dans le répertoire de nombreux artistes contemporains comme Dylan, Joan Baez et de nombreux autres.
" Et si tu n'existais pas..."
Premier titre sur l'album Le Costume blanc, "Et si tu n'existais pas" est une chanson interprétée par Joe Dassin lors de la Première émission en couleur de TF1, le 20 décembre 1975, pour l'émission Numéro un.
Les paroles sont de Pierre Delanoë et Claude Lemesle, la musique de Salvatore Cutugno et Pasquale Losito.
(Toujours avec des moyens plus que minimalistes) J'ai enregistré ma propre interprétation en 2009 afin de la dédier à mon épouse.
L'Oiseau de Paradis.
Bonjour,
... Et voici qu'à partir d'une adaptation à la "sauce" A. Rieu, de la célébre Seconde Valse de Dmitri Shoastakovich: à laquelle j'ai ajouté des paroles, il s'est produit que je vous ai concocté une chansonnette très personnelle ...
L’Oiseau de Paradis (valse) Paroles de Robert-Henri D
J’avais rêvé
La passion du Marivaudage
Pour chavirer
Quand mon cœur s’accrochait aux nuages
L’oiseau de Paradis
N’a rien compris
Car le vent en habit cruel a tout emporté
Une valse un cœur de poète un rêve d’été
Premier amour
Le printemps jaillit dans nos rêves
On croit toujours
Que le bonheur exulte sans trêve
L’oiseau de paradis
Nous enhardit
Mais le vent en habit cruel peut tout emporter
Une valse un cœur de poète un rêve d’été
Un cœur blessé
Ne guérit qu’avec la tendresse
Est arrivé
L’arc-en-ciel joli comme une caresse
L’oiseau de paradis
Nous a trahis
Quand le vent en habit cruel a tout emporté
Une valse un cœur de poète un rêve d’été
Chagrin d’amour
Mais la pluie un beau jour s’achève
Sur un velours
Un sourire illumine vos rêves
L’oiseau de paradis
Est si joli
Mais le vent en habit cruel peut tout emporter
Une valse un cœur de poète un rêve d’été
La vérité
C’est que le cœur n’est pas très sage
A chaque été
Il refait son apprentissage
L’oiseau de paradis
Nous étourdit
Mais le vent en habit cruel peut tout emporter
Une valse un cœur de poète un rêve d’été
Supplique à Marie
S'il l'on peut considérer qu'il y a sur notre terre des poètes pour qui la foi s'exprime de manière très éclectique… Alors il se trouve que peut-être je serais de leur nombre? Mais allez savoir ce que l'on ignore soi-même? Quoi qu'il en soit, et toujours en implorant votre bienveillance quand à mon style et aux performances restreintes du logiciel d'enregistrement gratuit Audacity, voici que je vous propose cette courte supplique à Marie… (à chacun sa manière de prier le ciel!) par laquelle mon âme tente, à sa manière, d'exprimer ce qu'elle a sur le cœur.
(Certes, ce genre d'exercice peut révéler tellement d'émotion dans la voix que le sentiment de complainte s'y retrouvant tant appuyé, le message peut alors surprendre, mais au moins il est sincère.)
Les Feuilles Mortes...
Alors que certains amours se font à l'instar des cigales durant l'été… ils se défont parfois quand s'effeuillent les arbres qui les ont abrités…
Cette chanson de Prevert (pour les paroles) et Kosma (pour la musique) que vous allez peut-être trouver poétique et nostalgique à souhait, feu mon père la chantait avant moi… s'identifiant peut-être alors de tête à l'un de ces fameux interprètes masculins que fut Ives Montand?
Je n'ai certes pas cette prétention, ni même le sentiment d'égaler mon papa dans cet exercice qu'il savait réussir mieux que moi. Pourtant, et toujours en faisant appel à votre mansuétude, voici que je vous propose d'entendre ma voix dans deux versions: l'une étant "a capella" tandis que pour l'autre, je me suis enregistré, toujours sans la moindre prétention, en ajoutant ma propre interprétation musicale… à l'harmonica chromatique.
La Quête
Cette chanson que j'interprète en laissant libre de s'exprimer l'émotion qu'elle suscite en moi le fut par Jacques Brel en 1968. Elle est extraite de L'Homme de la Mancha, adaptation française de la comédie musicale américaine Man of La Mancha.
Le mot quête désigne dans cette œuvre l'action qui consiste à vouloir trouver… ou découvrir ce qui semble inaccessible à l'être humain.
En voici les paroles:
Rêver un impossible rêve
Porter le chagrin des départs
Brûler d'une possible fièvre
Partir où personne ne part…
Aimer jusqu'à la déchirure
Aimer, même trop, même mal,
Tenter, sans force et sans armure,
D'atteindre l'inaccessible étoile
Telle est ma quête,
Suivre l'étoile
Peu m'importent mes chances
Peu m'importe le temps
Ou ma désespérance
Et puis lutter toujours
Sans questions ni repos
Se damner
Pour l'or d'un mot d'amour…
Je ne sais si je serai ce héros
Mais mon cœur serait tranquille
Et les villes s'éclabousseraient de bleu
Parce qu'un malheureux…
Brûle encore, bien qu'ayant tout brûlé
Brûle encore, même trop, même mal
Pour atteindre à s'en écarteler
Pour atteindre… l'inaccessible étoile!
Le Plat Pays
Selon ce que j'en ai lu sur Wikipédia: cette chanson aurait été inspirée par Jean Villard (dit Gilles), à Jacques Brel qui en écrivit les paroles et la musique après avoir entendu le poète décrire le parcours d'une rivière, la Venoge qui circule à travers le canton de Vaud (Suisse) ...
Paroles :
Avec la mer du Nord pour dernier terrain vague,
Et des vagues de dunes pour arrêter les vagues,
Et de vagues rochers que les marées dépassent,
Et qui ont à jamais le coeur à marée basse.
Avec infiniment de brumes à venir
Avec le vent de l'est écoutez le tenir
Le plat pays qui est le mien.
Avec des cathédrales pour uniques montagnes,
Et de noirs clochers comme mâts de cocagne
Ou des diables en pierres décrochent les nuages,
Avec le fil des jours pour unique voyage,
Et des chemins de pluie pour unique bonsoir,
Avec le vent d'ouest écoutez le vouloir,
Le plat pays qui est le mien.
Avec un ciel si bas qu'un canal s'est pendu,
Avec un ciel si bas qu'il fait l'humilité
Avec un ciel si gris qu'un canal s'est perdu,
Avec un ciel si gris qu'il faut lui pardonner.
Avec le vent du nord qui vient s'écarteler,
Avec le vent du nord écoutez le craquer,
Le plat pays qui est le mien.
Avec de l'Italie qui descendrait l'Escaut,
Avec Frida la Blonde quand elle devient Margot,
Quand les fils de Novembre nous reviennent en Mai,
Quand la plaine est fumante et tremble sous Juillet,
Quand le vent est au rire quand le vent est au blé,
Quand le vent est sud écoutez le chanter,
Le plat pays qui est le mien.
Ne me quitte pas.
Cette chanson fit suite à la séparation de Brel et de sa maîtresse Suzanne Gabriello dont il était amoureux depuis 1955, mais qui mit fin à leur relation, Brel refusant de quitter sa femme et ses trois enfants. Le chanteur l'a co-composée avec son pianiste accompagnateur de concert Gérard Jouannest, bien que celui-ci n'en ait jamais été crédité, n'étant à l'époque pas encore inscrit à la Sacem. Elle fut ensuite arrangée par François Rauber. Mais Brel la destinait à une interprète féminine: Simone Langlois, qui l'enregistre en janvier 1959, sur un 45 tours comportant quatre titres, avant de l’enregistrer lui-même, le 11 septembre 1959.
En ces temps difficiles d'aujourd'hui où plus que jamais les couples se font et se défont… cette œuvrette qui eut un retentissement mondial, reste encore à mes yeux une supplique empreinte d'émotion. C'est donc ainsi qu'il m'a convenu de l'interpréter aussi.
Pauvre con…
Vous souvenez vous de cette chanson de Keren Melou alias Rose?...
Hé bien puisque c'est encore dimanche… je me suis amusé à chanter avec elle… à ma manière… rien que pour vous!