CONNEXIONS (suite 11)
Bien que ma conscience me mît au défi de lui résister, ceci sans exclure le risque de la perdre, je gardais la certitude que cette inertie de mon corps s'appliquait gentiment à l’effacer de ma mémoire pour mieux sublimer la manifestation de quelque esprit mythique. Lequel émettait la même onde chaleureuse que celle qui se conçoit en amour. Or cela qui m'entourait m'envahissait autant que le bien-être peut se connaître de la « petite-mort ».
Alors ma respiration se fit de plus en plus lente et saccadée… jusqu’à bientôt sombrer en apnée.
(à suivre)
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